BEMYOIL
Une histoire née de la volonté de personnes altruistes, d’horizons et d’éducations différentes, de générations et de zones géographiques éloignées qui souhaitent mettre leurs savoirs, connaissances, réseaux et une grande partie de leurs temps à apporter des solutions pour combattre la grande sécheresse dans le Sud de Madagascar.
Bertrand REVERDY, agroéconomiste et entrepreneur, vivant en Afrique depuis 30 ans, découvre il y a 15 ans le Sud Madagascar et son extrême pauvreté…. Pas un arbre, un vent fort…de la poussière. des famille affamé..mais partout … partout .. du cactus
« Du cactus, géniale !!! on pourrait manger sa chaire ..en extraire de l’eau » .. sauf que celui-ci est un rare cactus non comestible ..
Que faire de cette plante envahisseuse, qui pullule, qui recouvre la majeure partie des bords de routes, des zones côtière (rôle premier de ce cactus : stopper l’érosion des flanc marins) ????
Une recherche poussée sur ce cactus, des rencontres d’experts agronomes et économistes commence à faire germer l’idée de transformer ces envahisseurs sans valeurs en une aubaine agroéconomique. …Pour la cosmétique, pour la nutrition animale, pour refaire vire un écosystème et enfin pour une source d’Energie alternative.
Une première pépite éclate : l’huile de pépins de figues de barbarie (le fruit du cactus). Un produit d’excellence, rare, premium et aux vertus antiâge hydratantes incontesté.
Le projet est en marche, murit et déjà certaines apportent leurs avis, connaissances, aides …
Didier DURING, expert en création de produits, images et objets design, ayant apporté beaucoup pour de très belles maisons parisiennes mondialement reconnues, est contacté par Bertrand pour sonder l’idée d’un développement d’une marque pour un produit cosmétique à bases de cette huile rare et précieuse…
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Didier, qui venait de se poser de sa vie parisienne trépidante, s’affaire de suite à ce projet. tel un grand enfant qui reprends son vélo..il file vers les conditionneurs à façon pour trouver le réceptacle du précieux liquide, l’enveloppe qui protègera ce bijoux… l’image qui attirera l’œil de la belle et du beau.
Arnaud AUBERT, entrepreneur dans le monde des technologies informatiques, breton de sang, réunionnais de cœur et malgache dans l’âme, ami de longue date de Bertrand, s’affaire dès le premier appel à un support technique et commercial via la création de sites web pour promouvoir les actions humanitaires et économiques du projet.
Arnaud, boosté par ses récentes acquisition en compétences stratégiques, met tout son temps libre au service du projet de la marque d’huile cosmétique. Très proche de la population malgache qui souffre (l’ile voisine), l’action personnel a un sens logique à une démarche d’économie vertueuse et fonctionnelle.
De ce trio nait BE MY OIL
… un slogan que Laurence, la compagne d’Arnaud, lance un soir …pour une marque.. un logo chiffonné sur un bout de Photoshop.. une mise en valeur par Didier sur un produit aux allures classe et vintage.. le premier site est lancé e-commerce.. what else ?
Les premiers litres arrivent en France.. Expertisé, validé par 2 labos..puis embouteillé chez une référence Francaise …LTE.. tout est là pour gager de la qualité d’un produit de luxe.. a porté éthique, responsable et surtout humanitaire.
C’est partie….
Des étudiants de EM LYON supervisé par une pointure des parfums, Joelle Dirringer-Descrozailles,apportent leurs expertisent marketing à la société d’encadrement et de production Malgache : ORGAearth
…une pointure Bulgare
… de très grandes maisons françaises intéressés et engagés dans le projet
… une très grande association reunionnaise : KERE
….. des pharmaciens aidants à diffuser notre marques
… et des hommes au grand cœurs ..financeurs Malgaches, sud-africains, Français ..
“That’s been one of my mantras — focus and simplicity. Simple can be harder than complex; you have to work hard to get your thinking clean to make it simple.”
“I think if you do something and it turns out pretty good, then you should go do something else wonderful, not dwell on it for too long. Just figure out what’s next.”